[…] Pour livrer sa pensée au vent de la parole,
S’il faut avoir perdu quelque peu sa raison,
Qui donne son secret est plus tendre que folle :
Méprise-t-on l’oiseau qui répand sa chanson ?
Marceline Desbordes-Valmore –
À celles qui pleurent dans Bouquets et prières 1843